Derrière le sourire barrant son doux visage et les mélodies pétillantes et colorées, le regard crépite de rage. Amazone des temps modernes aux airs rebels de Catherine Ringer, Kalika fait l’effet d’un coup de poing dans un gant de velours. Celle dont le nom évoque Kali, déesse indienne de la destruction et de la reconstruction, tape de la voix et racontent ses histoires d’amour et de sexe tumultueuses de jeune féministe de 22 ans.
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