Elle doit son nom de scène à la chanson « Silly Boy Blue » enregistrée par David Bowie en mai 68. Cette invitation à l’insoumission résonne en Ana Benabdelkarim qui partage avec lui ce goût du risque, cette prise de liberté avec les conventions. Son univers pop teinté de romantisme noir mêle langoureusement instruments acoustiques et diableries électroniques. Une voix envoûtante et des rythmiques aériennes à découvrir sans tarder !
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