Cet ingénieur du son anglais caché derrière ses machines ravagerait à lui tout seul un stade à grands coups d’infrabasses et de rythmiques syncopées. Son mélange de techno à turbine et de ragga en version turbo a beau parfois rappeler la puissance de feu de ses aînés The Prodigy, ce familier des « free parties » connaît aussi sur le bout des doigts son « Chase The Devil » de Max Romeo produit par Lee « Scratch » Perry.
En un mot comme en cent, Vandal est prodige des platines et ne fait pas de prisonniers : tout le monde est condamné au dancefloor !
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