En mars 2020, le multi-instrumentiste Adrien Soleiman rassemble autour de son saxophone des ami·e·s musiciens et musiciennes (Anaïs Aghayan, Djivan Abkarian, Adrian Edeline, Maxime Daoud, Arnaud Biscay) pour jouer et transmettre la musique arménienne au plus grand nombre. Le sextet reprend avec émotion des classiques du répertoire populaire où l’amour et le chagrin partagent le même destin. Une musique qui s’adresse directement à l’âme.

Les cinq jeunes bretons de Komodor ont les cheveux longs mais pas la mémoire courte. Sans doute élevés aux riffs distordus du MC5, des Stooges, d’Alice Cooper et d’autres rockeurs énervés issus de la « Motor City », le quintet revisite avec brio les codes d’un hard rock millésimé seventies en y ajoutant une dose de psychédélisme. Douarnenez n’a jamais semblé aussi proche de Detroit.